Fred et Stéphane qui suivent assidûment les actions du L.K.P. se sont aperçus qu’il n’y avait quasiment pas de membres de la communauté blanche présents dans les manifestations. L’amalgame aurait été facile à faire entre tous les métros, ils ont donc déclenché cette réunion. Pour que chacun s’exprime, se situe face à la société Guadeloupéenne et aux événement qui s’y déroulent. Nous parlons bien sûr de ceux qui ne se reconnaissent pas dans le clan de la pwofitasyon. Ceux qui forment ce groupe sont arrivés en Guadeloupe par les hasards de la vie ou par libre décision. Il s’agit de gens qui sont au dessus du débat sur le racisme et sont arrivés avec le souci de s’intégrer à la société Antillaise et plus encore, adopter sa culture, son histoire, bref devenir rapidement guadeloupéens.
Arrivés dans l’île, les choses n’ont pas été aussi faciles que prévu et pour beaucoup, la bonne volonté ne suffit pas pour être accepté, les codes de la société antillaise ne sont pas simples. Des traumatismes, des inégalités cachées, des non-dits compliquent les choses et il n’est pas facile de comprendre. Certains ont soufferts de rejet, voir de racisme anti-blancs et sont restés désarmés, eux qui aiment l’île et souhaitent être adoptés par son peuple, ils comprennent sincèrement le désastre, les séquelles encore actives que l’histoire a laissé et en sont révoltés.
Après un moment où chacun a déversé ses états d’âme, la conclusion est que les choses sont peut-être très simples : Il suffit d’être soi-même.
La presse était largement présente, les débats ont été diffusés dans les médias.
L’après-midi, il y avait une manifestation commémorative au Moule, en hommage au massacre du 14 février 52. Beaucoup ont décidés de s’y rendre………
Extraordinaire ; Il faut croire que les médias locaux avaient fait leur travail, que l’intuition Caraïbe est très puissante ou simplement que les blancs non-métro avaient changés d’attitude. (Nous connaissons tous la force du langage du corps). Des sourires, des gestes sympathiques, des paroles charmantes. Les Antillais, consciemment ou inconsciemment savaient tout, de ce qui s’était passé le matin.
La manifestation s’est déroulée dans une ambiance exceptionnelle et le Lewoz qui a suivi a scellé l’union de tous les Guadeloupéens de Cœur.
Arrivés dans l’île, les choses n’ont pas été aussi faciles que prévu et pour beaucoup, la bonne volonté ne suffit pas pour être accepté, les codes de la société antillaise ne sont pas simples. Des traumatismes, des inégalités cachées, des non-dits compliquent les choses et il n’est pas facile de comprendre. Certains ont soufferts de rejet, voir de racisme anti-blancs et sont restés désarmés, eux qui aiment l’île et souhaitent être adoptés par son peuple, ils comprennent sincèrement le désastre, les séquelles encore actives que l’histoire a laissé et en sont révoltés.
Après un moment où chacun a déversé ses états d’âme, la conclusion est que les choses sont peut-être très simples : Il suffit d’être soi-même.
La presse était largement présente, les débats ont été diffusés dans les médias.
L’après-midi, il y avait une manifestation commémorative au Moule, en hommage au massacre du 14 février 52. Beaucoup ont décidés de s’y rendre………
Extraordinaire ; Il faut croire que les médias locaux avaient fait leur travail, que l’intuition Caraïbe est très puissante ou simplement que les blancs non-métro avaient changés d’attitude. (Nous connaissons tous la force du langage du corps). Des sourires, des gestes sympathiques, des paroles charmantes. Les Antillais, consciemment ou inconsciemment savaient tout, de ce qui s’était passé le matin.
La manifestation s’est déroulée dans une ambiance exceptionnelle et le Lewoz qui a suivi a scellé l’union de tous les Guadeloupéens de Cœur.
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